Avec les orages des ces dernières semaines, les médias ont eu envie de parler des chasseurs d’orages. Il y a des chasseurs d’orages dans tous les médias. Il faut reconnaitre que certains n’ont pas chômé et ne sont pas rentrés bredouilles de leurs chasses aux orages. La Dépêche du Midi a pris contact au début de la semaine pour parler avec moi de la chasse aux orage sur Toulouse.
Mardi, j’ai donc rencontré la journaliste Sophie Vigroux durant une grosse heure pour parler des orages et de photographie.
L’article parait ce matin (dimanche 10 juin) dans la Dépêche du Dimanche.
Quelques questions sur la chasse à l’orage
Découvrez mes conseils et astuces pour photographier un orage
Sophie Vigroux journaliste à la Dépêche du Midi est venue à la maison. Elle avait son carnet et son dictaphone. Durant presque une heure elle a enchainé les questions sur l’origine de ma passion, sur les orages. On a parlé sécurité lors de la chasse aux orages. On a aussi parlé de la technique pour réaliser les photos.
Bien sur, on a parlé de la situation orageuse sur Toulouse. Sur les orages qui ne sont pas très photogéniques ces derniers temps. Elle a beaucoup rigolé quand j’ai parlé des spaghettis, ces impacts de foudre sans ramification.
et un portrait pour illustrer la Dépêche du Midi
Pour son article, Sophie Vigroux avait besoin d’un portrait. Elle avait pris un compact pour me tirer le portrait. J’ai souri quand elle m’a dit, j’ai un petit appareil photo. Ça m’arrangeait bien. Si je suis très à l’aise derrière un appareil photo, ce n’est pas le cas lorsque je me retrouve devant l’objectif.
La chasse à l’orage est une activité dangereuse.
Soyez prudent !
Après quelques essais, la journaliste de la Dépêche du Midi avait la photo qu’il fallait pour illustrer son article.
Personnellement, j’étais un peu surpris de réussir à me laisser prendre en photo si facilement.
Ca me rappelle aussi qu’il faut qu’un jour sous un orage, je prenne le temps de faire un bel autoportrait. Mais pour cela il faut un orage avec une belle activité électrique bien visible.
Les chasses aux orages se suivent et se ressemblent
Hier soir encore j’étais dehors à voir filer une cellule orageuse. Après avoir martelé le Gers, celle-ci a pris la direction du Tarn et Garonne. Malheureusement la distance était trop importante pour réussir à voir le moindre impact. Sur les hauteurs de Jolimont on ne voyait que des flash lumineux se refléter dans les couches nuageuses. Mais sous la cellule ce fut l’apocalypse. Par endroit des arbres sont tombés. Plus loin la grêle a fait d’importants dégâts. Parfois même la pluie a inondé des caves.
Mince j’ai loupé l’article! Je vais voir si je peux le récupérer.
Super expérience en tout cas, bravo Loïc!
@Sebastien Blomme
il y a la version numérique en lien. J’ai une copie de la version papier … mais je vais attendre pour la sortir
Ca va, l’article ne déforme pas trop la réalité!
@Anne
Cette fois je ne change pas de prénom en cours de route 😉