L’apparition d’une comète dans le ciel est toujours un événement astronomique majeur. En ce mois d’octobre 2024, la comète Tsuchinshan-ATLAS a fait son entrée dans le ciel, promettant aux passionnés d’astronomie des soirées d’observation riches en émotions.
Toutefois, la météo joue un rôle clé dans la réussite de ces observations, et les conditions récentes dans le sud-ouest de la France, en particulier à Toulouse, compliquent la tâche des observateurs. Les astronomes amateurs et les curieux se heurtent à une forte nébulosité qui limite considérablement la visibilité, notamment depuis des sites comme celui de Pech David à Toulouse.

La comète Tsuchinshan-ATLAS : une rareté dans le ciel
Découverte en début de 2023, la comète Tsuchinshan-ATLAS (Comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS) est issue d’un long voyage à travers le système solaire. Elle tire son nom des observatoires responsables de sa découverte : l’Observatoire de la Montagne Pourpre à Nanjing (Tsuchinshan) et le projet ATLAS (Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System) qui surveille les objets célestes proches de la Terre. Ce type de comète est relativement rare, d’autant plus qu’elle est visible à l’œil nu, ce qui en fait une véritable opportunité pour les amateurs d’astronomie.
Cette comète est observable dans la constellation de la Vierge en début de soirée, peu après le coucher du soleil. Son éclat se renforce à mesure qu’elle s’approche du Soleil, offrant une lueur diffuse et une longue queue visible sous de bonnes conditions. Cependant, même pour ceux équipés de jumelles ou de télescopes, la météo constitue un obstacle majeur.
Caractéristiques de la comète Tsuchinshan-ATLAS
La comète Tsuchinshan-ATLAS mesure entre 20 et 40 km de diamètre contre 5 km pour Neowise et 11 km pour la comète de Halley. Par sa taille, de nombreux observateurs la surnomment déjà la comète du siècle.
Très lumineuse lors de son passage au plus proche du soleil, elle a pu être visible en pleine journée par certains spécialistes. Malheureusement, sa magnitude apparente diminue de jour en jour et sa proximité avec l’horizon la rend difficile à voir.
Les conditions météorologiques difficiles le 12/10/2024
Depuis plusieurs semaines, la région de Toulouse subit une succession de fronts nuageux qui rendent l’observation astronomique presque impossible. Pech David, lieu emblématique des astronomes amateurs de la région, offre en temps normal une vue dégagée, parfait pour observer des phénomènes comme les éclipses lunaires et quelques phénomènes astronomiques suffisamment lumineux. Toutefois, la forte nébulosité couplée à une humidité élevée limite la visibilité du ciel nocturne de 12 octobre 2024. Ces conditions météorologiques frustrent les observateurs qui attendaient avec impatience de voir la comète Tsuchinshan-ATLAS dans toute sa splendeur.
Le problème de la météo pour l’observation astronomique n’est pas nouveau. Les astronomes savent que le ciel est capricieux et qu’il faut souvent de la patience pour saisir l’opportunité parfaite. Mais cet automne, la situation est particulièrement compliquée. Quelques jours plus tôt, les toulousains ont raté les aurores boréales à cause de la météo.
Alors que la comète devrait encore être visible dans les jours à venir, les prévisions météorologiques n’annoncent pas d’amélioration significative. La persistance des nuages rend la tâche des observateurs plus ardue, même avec les meilleurs équipements.
Pourquoi Pech David est un site prisé par les toulousains ?
Pech David est l’un des endroits favoris des Toulousains pour contempler le ciel. Situé sur les hauteurs, il offre une vue panoramique sur l’ouest de la ville. De nombreux amateurs s’y retrouvent pour profiter d’événements tels que la récente super lune ou les conjonctions planétaires. Le site est aussi suffisamment accessible pour les amateurs moins équipés, permettant des observations avec de simples jumelles ou des appareils photo dotés de téléobjectifs.
Toutefois, malgré ses avantages, la situation géographique de Pech David ne peut rien contre les éléments climatiques. Sous un ciel dégagé, il serait possible de suivre la progression de la comète à l’œil nu ou à l’aide de jumelles. Mais avec une couverture nuageuse dense, seule une infime lueur est perceptible, ce qui a rendu les tentatives d’observation difficiles pour les amateurs.

Observer une comète : entre science et passion
Le passage d’une comète est toujours un événement à ne pas manquer pour les passionnés d’astronomie. Ce fut le cas avec la comète Neowise qui a brillé dans le ciel en 2020. Bien plus qu’un simple objet céleste, elle est la manifestation d’un voyage qui a traversé l’espace pendant des millénaires avant d’être perceptible depuis la Terre. Les comètes, composées principalement de glace et de poussière, sont parfois qualifiées de « boules de neige sales ». Lorsqu’elles s’approchent du Soleil, la chaleur fait sublimer la glace, formant une chevelure brillante et une queue composée de gaz et de particules. Ce phénomène, visible à l’œil nu sous certaines conditions, peut être suivi et photographié par les amateurs d’astronomie.
L’observation d’une comète, comme la comète Tsuchinshan-ATLAS, est aussi une porte d’entrée vers une meilleure compréhension de notre place dans le cosmos. Ces objets célestes sont parmi les plus anciens du système solaire et nous rappellent les origines de la Terre elle-même. Capturer une image ou simplement observer une comète est donc un moyen de se connecter à l’histoire de l’univers.

Météo et observation : un défi permanent
La météo capricieuse est un obstacle récurrent pour les astronomes. En France, où les saisons peuvent être imprévisibles, les fenêtres d’observation ne sont jamais garanties. À Toulouse, en particulier cet automne, l’instabilité des conditions météorologiques a frustré de nombreux passionnés, non seulement pour l’observation de la comète Tsuchinshan-ATLAS, mais aussi pour d’autres événements astronomiques récents.
Face à la nébulosité, il est souvent recommandé de surveiller attentivement les prévisions météorologiques et de planifier les sorties en conséquence. Il est aussi utile de connaître quelques astuces pour observer dans des conditions sub-optimales, telles que l’utilisation d’instruments plus sensibles à la lumière ou le repérage de petites fenêtres de ciel dégagé entre les nuages.
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Moins de nuages et plus de monde le 13/10/2024
La soirée tant attendue est enfin arrivée pour les passionnés d’astronomie toulousains. Après plusieurs jours marqués par une nébulosité persistante, la météo a enfin offert une fenêtre d’observation favorable pour admirer la comète Tsuchinshan-ATLAS.
Pech David, site incontournable pour les amateurs d’astronomie de la région, a attiré de nombreux curieux, certains armés de leurs jumelles, d’autres simplement impatients de voir le phénomène à l’œil nu. La foule présente témoignait de l’engouement pour cet événement céleste rare.
Plus de Toulousains, plus d’impatience
Contrairement aux précédentes tentatives d’observation, ce soir-là, le ciel était presque dégagé. La forte affluence montrait que la frustration des jours passés n’avait en rien entamé la détermination des amateurs de ciel nocturne. En observant les allées et venues à Pech David, on pouvait sentir une atmosphère d’excitation palpable. Les discussions allaient bon train, chacun partageant ses attentes et ses stratégies pour immortaliser la comète. Certains astronomes en herbe étaient impatients, s’installant bien à l’avance pour obtenir la meilleure place possible, tandis que d’autres observaient patiemment l’évolution des conditions météorologiques.

Une météo plus clémente, un ciel plus dégagé
La véritable surprise de la soirée fut la quasi-absence de nébulosité. Le ciel toulousain a su se dégager, permettant ainsi une observation claire et prolongée de la comète. Seuls quelques nuages dans le Golfe de Gascogne ont légèrement perturbé la fin de la soirée, réduisant la durée d’observation de quelques minutes. Mais ces nuages étaient suffisamment éloignés pour ne pas compromettre l’expérience visuelle offerte par Tsuchinshan-ATLAS.
Sous ce ciel relativement dégagé, la comète a dévoilé toute sa beauté. Ses détails étaient perceptibles même pour les observateurs les moins équipés. La longue queue de poussière et de gaz était bien visible, s’étirant à travers le firmament, alors que son noyau brillait d’une lueur discrète mais soutenue. Pour les plus chanceux, équipés de jumelles ou d’appareils photo dotés de téléobjectifs, chaque instant capturé était précieux.

Une occasion idéale pour les photographes
Les conditions d’observation plus favorables ont aussi permis aux photographes de la région de capturer des images mémorables de la comète. Les amateurs de photo astronomique, bien conscients de l’instabilité des conditions climatiques dans les jours précédents, n’ont pas manqué de tirer parti de cette soirée d’exception. Avec un ciel dégagé presque tout au long de l’observation, la comète Tsuchinshan-ATLAS est devenue un sujet de choix pour immortaliser un moment rare.
Certains photographes ont su jouer avec la lumière résiduelle du crépuscule pour obtenir des clichés où la comète se détachait subtilement du fond étoilé. D’autres ont utilisé des objectifs plus longs pour isoler la comète dans leur cadre et révéler les détails de sa chevelure et de sa queue. La quasi-absence de nuages a ainsi permis de prolonger les prises de vue et d’expérimenter avec différentes configurations d’exposition et de composition.

Un phénomène céleste qui laisse des souvenirs
Cette soirée d’observation a marqué les esprits des Toulousains présents, qu’ils soient astronomes aguerris ou simples curieux. Pour beaucoup, c’était une occasion unique d’observer une comète dans des conditions presque idéales. Le passage de Tsuchinshan-ATLAS a suscité des discussions passionnées, non seulement sur la beauté du spectacle céleste, mais aussi sur l’aspect scientifique et historique des comètes en général.
Pour les gamins présents observer une comète est l’occasion de découvrir un peu plus le monde qui nous entoure. Il ne fait aucun doute que lors de leur retour à l’école il sauront des souvenirs à partager avec leurs camarades, en classe ou dans la cour de récréation.
À la fin de la soirée, alors que les nuages faisaient progressivement disparaître la comète de l’horizon, chacun repartait avec des images gravées dans la mémoire ou sur la carte mémoire de leur appareil photo. Pech David, une fois de plus, a offert aux Toulousains un rendez-vous céleste à ne pas manquer.
En somme, cette soirée d’observation de la comète Tsuchinshan-ATLAS restera gravée dans les mémoires comme un moment privilégié où la météo s’est enfin montrée clémente, permettant aux passionnés d’astronomie de profiter pleinement de ce phénomène rare. Les photographes, eux, auront réussi à capturer des clichés mémorables, immortalisant ainsi ce voyage à travers les étoiles pour les années à venir.
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Quels sont les espoirs de voir comète Tsuchinshan-ATLAS pour les jours à venir ?
Malgré ces conditions météorologiques peu favorables, tout n’est pas perdu pour les observateurs. Les comètes, par nature, sont visibles sur une longue période. Tsuchinshan-ATLAS devrait encore être observable pendant plusieurs jours, peut-être semaines, ce qui laisse espérer une amélioration des conditions météorologiques. Les passionnés continuent de guetter une accalmie et se préparent déjà à immortaliser ce phénomène rare.
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Des passionnés et quelques curieux le 19/10/24
En ce samedi soir, à Toulouse le ciel se révèle bien plus clair qu’annoncé. A coté de l’observatoire de Jolimont au pied de l’obelisque du 10 avril 1814 se retrouvent des passionnés et des curieux. Dans le ciel malgré la pollution lumineuse, et une légère brume la comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS apparait sur les écrans des appareils photos et dans les jumelles.
Quelques curieux viennent voir ce qu’il se passe. Certains sont venus dans l’espoir de voir la comète mais celle ci a perdu en luminosité. En une semaine sa magnitude apparente est passé de 0.1 à 4.1. Il faudrait un ciel parfaitement sombre sans nébulosité pour pouvoir voir la comète sans instrument.
Malheureusement les nuages ne sont pas bien loin. Rapidement ils envahissent le ciel de Toulouse. D’abord une brume légère dans laquelle apparait la pollution lumineuse. Puis des nuages plus épais cachent la comète et tout le monde dit adieu à la comète Tsuchinshan-ATLAS. La météo des prochains jours n’augure rien de bon pour permettre d’observer celle qui, en France, a attiré les regards durant une semaine.

La contre queue de la comète visible
La contre-queue d’une comète, également appelée « queue antisol », est un phénomène fascinant qui intrigue les astronomes et les passionnés d’astrophotographie. Contrairement à la queue de poussière principale, qui s’étire à l’opposé du Soleil sous l’effet de la pression de radiation solaire, la contre-queue semble pointer dans la direction opposée, vers le Soleil.
Ce paradoxe apparent est causé par une illusion d’optique due à la perspective terrestre. En réalité, la contre-queue est composée de particules plus lourdes et moins sensibles à la pression du vent solaire, qui restent plus longtemps à proximité de l’orbite de la comète. Ces particules forment une structure tridimensionnelle qui, vue depuis la Terre, donne l’impression de s’étendre vers le Soleil. Bien que plus rare et plus difficile à observer, la contre-queue constitue un défi photographique, ajoutant une nouvelle dimension à l’étude des comètes et à leur observation depuis notre planète.
Le 20/10/24 Tsuchinshan-ATLAS devient Tsuchin-shy
Lentement la comète se fait plus discrete. Je pense que ce soir c’était le dernier pour observer Tsuchinshan-ATLAS depuis les villes baignées de pollution lumineuse. Au pied de l’obelisque de Jolimont quelques curieux essayent d’apercevoir la chevelure de la comète. Mais meme avec l’appareil photo trouver la comète esr une mission difficile.
Il faut reconnaitre que les nuages sont présents. Ils laissent parfois la lumière des étoiles et dans de rares moments la comète reflète la lumière solaire laissant difficilement apparaitre la chevelure.
Dans le ciel clair laissé libre par les nuages on voit les satellites qui se succèdent. Pour certains c’est l’occasion d’apprendre que l’on peut voir les satellites à l’oeil nu. Soudain dans le ciel une étoile filante vient saluer les curieux les plus attentifs. Au meme moment la comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS disparait dans les nuages.

Le 21/10/24 la comète Tsuchinshan-ATLAS presque invisible
Le 21 octobre à Toulouse, malgré un ciel particulière clément et offrant sans doute les meilleures conditions d’observation, la comète est invisible à l’oeil nu. Sa magnitude a fortement chuté et dépasse désormais 4 quand la veille elle était proche de 3. Heureusement avec l’appareil photo on peut prolonger le temps de pose. Cela permet ensuite de faire un assemblage et de faire apparaitre la comète.

Il faut malheureusement se rendre à l’évidence. La comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS va rapidement ne plus etre visible avec du simple materiel photographique.
La comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS était elle la comète du siècle ?
Il faudra attendre 2100 pour répondre avec précision à cette question. Cette comète est la plus grosse en taille (20 à 40 km de diamètre) que l’on ait pu voir depuis la Terre. Cependant si elle a connu des jours durant lesquels la comète à été très lumineuse sa magnitude relativement à rapidement chutée rendant l’observation difficile sans materiel.
D’autres comètes ont été plus facile à observer et durant une periode plus longue au cours des 23 premières années du XXIeme siècle.
En France la météo a manqué de clemence avec les astronome et les curieux. Les nuages présents lors des premières soirées d’observation ont réduit les chance de pouvoir profiter pleinement de ce spectacle rare.
Conclusion
L’arrivée de la comète Tsuchinshan-ATLAS dans le ciel d’octobre est un moment magique pour les amateurs d’astronomie. Pourtant, la météo, capricieuse et peu coopérative, a mis à l’épreuve la patience des observateurs toulousains. Le site de Pech David, habituellement un lieu de choix pour ces observations, a été pris d’assaut par les nuages, lors de la première vraie soirée d’observation empêchant de profiter pleinement de ce phénomène céleste.
Le lendemain, la météo se montre plus clémente et permet une observation plus facile. Les toulousains ne se sont pas trompés. Ils sont nombreux à l’attendre. C’était sans doute la soirée à ne pas rater.
Toutefois, la comète C/2023 A3 Tsuchinshan-ATLAS demeure dans notre ciel pour encore quelque temps, offrant aux plus chanceux l’espoir d’une percée dans les nuages. Les amateurs d’astronomie, armés de leur passion et de leur persévérance, restent donc aux aguets, prêts à saisir toute opportunité d’observer ce joyau de glace et de poussière venu des confins du système solaire.
La chance !! Je n’ai vu ni les aurores boréales ni la comète. J’espère pouvoir la voir prochainement.
@Afolaurent
Je te souhaite de voir la comète dans les jours qui viennent.
Salut Loic,
BRAVO pour ces premières photos. Je suis un peu jaloux car chez moi la comète se cache dans les nuages. Cette semaine l’observation de la comète semble compromise pour moi. J’ai vu par contre que chez toi vous devriez avoir une nouvelle fenêtre d’observation dans la soirée.
@Fabrice
Merci, Effectivement j’ai eu de la chance samedi et comme tu as pu le prévoir dimanche les conditions n’étaient pas mauvaises pour voir la comète Tsuchinshan-ATLAS
Il faut regarder quand et où pour la voir ?
@Angélique Il faut regarder vers l’Ouest environ 45 min après le coucher de soleil. L’utilisation d’une application comme stellarium est un plus.
Il y a quand même des photographes qui ont pu photographier cette comète ! Les conditions semblent difficile mais chez moi en Alsace on n’a même pas cherché à aller la voir.
J’espère pouvoir la voir, mais la météo indique que ce sera difficile.
@Miguel
Comment étaient les conditions hier soir. Sur les radars, cela semblait assez prometteur pour voir la comète.
J’espère pouvoir voir cette comète mais sa magnitude décline rapidement. Elle est même inferieure aux prévisions. En plus la météo n’est pas la plus favorable bref croisons les doigts car dans 80.000 ans je ne suis pas certain de pouvoir la voir.
@webinou
Effectivement, sa magnitude décline. Mais pour le moment, en trouvant un spot loin de la pollution lumineuse la comète reste bien visible.
Hier soir je n’ai rien vu dans le ciel. Je vais tenter ma chance ce soir pour le moment la météo est bonne.
@kloxal
Samedi la comète était timide en raison de la luminosité du ciel et de sa faible luminosité. Autour de moi, certains n’ont pu la voir qu’assez tardivement.
superbe photo
@Domie
Merci Domie, tu vas essayer de voir la comète et de la photographier ?
Je viens de voir l’article de France 3, un seul mot Bravo !
On sent la passion et le savoir faire dans ces photos
@Bruno
Merci Bruno, j’ai un petit peu d’expérience pour ce genre de photos.
La passion pour la photographie et pour l’astronomie, c’est depuis tout petit.
Ce matin à la machine à café nous parlions de vos photos elles sont vraiment très belles, tout particulièrement celles de la comète réalisées ce dimanche soir.
Je vous souhaite d’autres belles soirée d’observations.
@Laurie, Anais et Lucie
Jamais j’aurais pu imaginer que l’on parle de mes photos à la machine à café. Merci pour votre message. Croisons les doigts pour d’autres soirées d’observations.
Bravo pour ces photos de la comète !
On est d’accord que le nom de la comète est juste imprononçable ?
@Nicolino
Disons que pour prononcer le nom de la comète Tsuchinshan-ATLAS il faut un peu d’entrainement.
Bonjour
La météo a été très décevante pedant la période d’observation de la comète.
A Paris, n’en parlons pas, aucun jour favorable.
Dans le sud-Ouest, il y a eu quelques occasions, dont ce 13 octobre.
De Bordeaux par exemple, les nuages du 13 visibles juste au dessus de l’horizon toulousain étaient situés plus au Sud, et la comète a été visible jusqu’à son coucher (malgré la pollution lumineuse).
Je suis allé voir après étude des photos satellite au dernier moment.
Bonne continuation, et bravo pour la qualité de vos reportages
@Courtel
C’est vrai que lorsque l’on compare les photos réalisées le meme soir on voit ou se trouvent les nuages. Malheureusement pour cette comète nous n’avons pas beaucoup de chance. En plus de la météo la luminosité de la comète est relativement faible.
Dimanche soir il y avait du monde à Jolimont, certains avaient des jumelles pour voir la comètes. C’était une chouette soirée. Dommage que ca n’arrive pas plus souvent !!
@GrosBiscuit
J’avais peur que la pollution lumineuse soit plus importante qu’à Pech David. Mais Hier soir j’ai pu me rendre compte que les conditions n’étaient pas si mauvaises pour photographier la comète
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